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L’autocritique constante: s’en débarrasser par l’EFT

Publié le 13 janvier 2023

L’autocritique constante est une source de mal-être difficile à gérer. Comment faire taire cette petite voix dans notre tête, qui juge chaque petite erreur comme un échec supplémentaire ? 

En commençant par repérer les situations de jugement excessif envers soi-même. Et en repérant l’émotion que vous associez à votre « échec ». 

Ensuite repérez où vous ressentez cette émotion dans votre corps.

Et enfin, à quelle intensité la ressentez-vous entre 0 et 10 ?

Je vous engage, maintenant, à faire deux rondes EFT en répétant les phrases suivantes sur chacun des points: 

« Même si je réalise que je suis très dur(e) avec moi-même parce que j’ai ce sentiment de toujours faire mal les choses ou pas assez bien, je m’accepte et je m’aime comme je suis »

« Je me sens nul(le) »

« J’ai encore tout loupé »

« Pourquoi c’est jamais assez bien ? »

« J’ai encore échoué »

« Je n’arriverai jamais à rien »

« C’est toujours pareil »

« Pourquoi j’essaye, c’était certain que je n’y arriverai pas »

« Je m’acharne pour rien »

« Pourquoi est-ce que je me flagelle comme ça? »

« Pourquoi je suis aussi dur(e) avec moi ? »

« Je suis mon pire critique »

« Je ne me fais jamais de cadeaux »

« Je me martyrise »

« Pourquoi ? »

« Pourquoi est-ce que je ne crois pas en moi ? »

« Je mérite de la bienveillance »

« Je mérite de souligner mes petites victoires »

« Mes échecs ne sont pas un frein, ils me font avancer »

« Mes échecs sont nécessaires à mon évolution »

« C’est grâce à eux que je progresse »

« Échouer c’est une force pas une faiblesse »

« Je me remercie d’essayer »

« Je me remercie d’avancer »

« Je fais de mon mieux »

« Je peux être fier(e) de ça »

« Je fais taire cette voix dans ma tête »

« A partir d’aujourd’hui c’est la voix de l’encouragement qui me parle »

« Je m’aime et je m’accepte comme je suis »

A présent, vous pouvez évaluer de nouveau votre intensité émotionnelle entre 0 et 10. Le but étant de parvenir à 0, n’hésitez pas à reprendre la ronde autant de fois que nécessaire. N’hésitez pas à ajuster les mots en fonction de ce que vous ressentez et ce qui vous vient à l’esprit.