Pathologies traitées

Les émotions négatives

• Tristesse
• Peur
• Phobie
• Colère
• Honte
• Anxiété, culpabilité, manque d’estime ou de confiance en soi
• Traumatisme, agression, accident, deuil …

Anxiété, peur, culpabilité, colère, jalousie… Les émotions négatives peuvent nous pourrir la vie. Pourtant, la solution n’est pas de les ignorer, mais de les comprendre et de les accepter pour mieux les gérer. Le bien être passe par l’acceptation de nos émotions négatives. Elles font partie de la vie et nous aident à identifier ce qui est en train de se passer en nous. Nous ne pouvons pas décider des émotions qui viennent en nous, mais nous pouvons tenter de les comprendre, les exprimer et les apprivoiser. Car bloquées, refoulées, retenues, elles peuvent nous rendre malade. Repérer l’émotion qui nous traverse n’est pas si évident. Est-ce que je suis en colère ou est-ce que j’ai peur ? Est-ce que j’ai mal au ventre parce que je suis angoissé(e) ?

Il est important d’être à l’écoute de son corps et de ses émotions pour reconnaître ce qu’ils nous disent.

Les problèmes physiques

• Douleurs,
• Migraines
• Problèmes de poids: maigreur, anorexie, obésité
• Mauvaise image de soi
• Maladies chroniques

Une pensée négative génère une émotion négative qui active le système nerveux du stress et met le corps en état d’alerte. Il existe donc une véritable continuité entre nos états psychiques et physiques.
Loin des concepts cartésiens ayant abouti à la séparation du corps et de l’esprit, notre expérience quotidienne nous offre la preuve de la relation constante qui s’établit entre nos pensées, nos croyances, les émotions suscitées par celles-ci et les réactions de notre corps. Le physique, le mental et la psychologie ne sont pas séparables, l’un ayant une influence majeure sur l’autre.

Les « manies »

• Tabagisme, alcoolisme, jeu
• Tocs
• Bégaiement
• Envies compulsives

Une obsession est un symptôme se traduisant par une idée ou un sentiment qui s’impose à la conscience du sujet qui le ressent comme contraignant et absurde, mais ne parvient pas à le chasser malgré ses efforts. Cependant, nous parlons plus souvent de « manies » que d’obsessions, car il nous semble que les manies sont dans une certaine mesure normales et que nous avons tous les nôtres. Nous avons donc pour habitude de dire : « j’ai la manie de vérifier plusieurs fois que j’ai bien fermé la porte du garage » ; « J’ai la manie de me laver les mains plusieurs fois dans la journée » ; « j’ai la manie de lire deux fois ce que je lis », etc. Ce sont des symptômes obsessionnels. Il faut tenir compte de leur intensité et de leur fréquence, et s’assurer qu’ils n’entraînent pas une détérioration de la vie personnelle, sociale, familiale ou professionnelle.